Les jours passent, mais ne se ressemble pas [pv Bella]

L'éternité peut sembler courte auprés de celle qu'on aime.




Voilà déjà pas mal de temps que j'habitais au chateau avec Bella. Chaque jour qui passait était une journée unique, une journée où j'avais l'impression de revivre un peu plus aprés le temps passait loin de celle que j'aimais. J'avaos rapidement pris mes repéres dans cet immense endroit, et je savais qu'il y avait des endroits que je n'avais pas visité. Je me contentais du minimum ! Je passais mes journées sois au prés de ma Bella, sois chez les cullens que je n'avais absolument pas oubliés. J'étais un peu comme un être humain, enfin c'est l'impression que cela me donné, divisé entre son propre foyer, et la maison de "son enfance" où vivent ses parents.

Ce matin là à l'heure où le soleil commençait à éclairer les alentours, àje revenais de la Villa Cullens, à bord de ma porsche très récemment acheté. Je rentrais chez moi ! J'avais passé le hall d'entrée des bonnes centaines de dizaines de fois, pourtant à chaque fois que je franchissais la porte, une sensation étrange m'envahissait, une sensation confortable et loin d'être désagréable. J'avançais donc dans le hall, et traversais les longs couloirs, tournant à droite puis à gauche. Heureusement grâce à ma vison et ma mèmoire de vampire, j'arrivais à me repérer grâce au tableaux. Bon maintenant j'avais tellement l'habitude de faire le chemin que je ne regardais plus rien autour de moi. J'arrivais dans un premier temps dans le salon à la recherche de ma chére et tendre. Mais celui ci était totalement vide, j'avançais donc vers l'endroit tellement familier où j'étais casiment certain de la trouver : Sa chambre.

Je rentrais dans la chambre sans me faire connaitre question d'habitude et pouis Bella était ma femme, je ne rentrais pas dans celle d'une étrangére. Je la trouvais là, je la saluais d'un immense sourire et doucement m'avançais pour l'embrasser, heureux de la voir :

_" Comment vas tu ?"

Les rideaux de la chambre était ouvert, ce qui laissait le pâle soleil rentrait. La chambre me semblait soudain très éclatante, plus que d'habitude ! Etais ce une simple impression, alors que je voulais toujours le soleil ainsi. Aujourd'hui, nous pourrions sortir si nous le désirions, la lumiére n'était pas assez forte pour ne faire briller de mille feux