Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot 6 Boosters Mascarade ...
Voir le deal

 

 « Home, sweet home » [ Alice C. ]

Aller en bas 
AuteurMessage
Esmé Anne Cullen
Six milliards d'âmes. Et parfois, on aurait besoin que d'une seule ...

Esmé Anne Cullen


▬ prénom / pseudo : Alex / Booboo
▬ nombre de messages : 48
▬ Copyright : Me
♦ reflection : « Home, sweet home » [ Alice C. ] 152qk

relationships
    ♦ love, like 'n hate
:

« Home, sweet home » [ Alice C. ] Empty
MessageSujet: « Home, sweet home » [ Alice C. ]   « Home, sweet home » [ Alice C. ] Icon_minitime11.11.09 20:39

    « Home, sweet home » [ Alice C. ] SuspectIcon1 « Home, sweet home » [ Alice C. ] 151go
    Alice M. Cullen & Esmé A. Cullen
    HOME, SWEET HOME


    Trois ans. Trois longues années s'étaient écoulées depuis que notre vie avait été chamboulé. Mon coeur s'était brisé une seconde fois lorsque nos chemins à tous s'étaient séparés. Comment avions-nous pu en arriver là ? Comment notre famille avait-elle pu arriver aussi bas ? La réponse était simple, dans un sens, et pourtant si difficile à avouer. Bella, ma douce Bella, ma très chère belle-fille, nous avait abandonné. Comme ça, du jour au lendemain, nous avions appris qu'elle s'en était allé. Où ça ? Pourquoi ? Je ne l'ai jamais réellement su. Tout ce que je comprenais de la situation, c'était que nous retournions à la case départ. Edward se retrouvait à nouveau seul, déprimé et plus mélancolique que jamais. Certes, il avait toujours Renesmée, ma charmante petite-fille, mais elle aussi avait été abandonné - bien que Jacob eûsse été là pour elle. Tous deux avaient eu besoin d 'un réconfort. Et Edward avait donc affronté sa tristesse pour aider sa fille à maintenir la sienne.Voir cela m'avait fendu en deux. Pourquoi ? Pourquoi nous faire ça ? Nous abandonner après tant d'années ensemble ? Malgré mes questions, aucune réponse ne me parvenait. Aussi, un jour, le coup de grâce arriva. Notre famille se disloquait. Le pire jour de ma vie. Malgré mes protestations et mes tentatives pour les maintenir près de moi, Carlisle me proposa de partir à New-York avec lui. Pourquoi refuserais-je ? Je n'avais plus personne d'autre hormis lui. Mes enfants, ma petite-fille, et même les loups, étaient partis de leur côté. Et pourtant, tous me manquaient. Plus que tout. Nous nous installâmes, Carlisle et moi, dans une maison dans un quartier calme de la capitale. Là, nous rencontrèrent un groupe de vampires avec lesquels nous restâmes quelques temps. Mais même leur compagnie ne m'aidait pas à remplir le vide qui siègeait dans mon être. Même les bras forts de mon mari n'avaient plus le même effet apaisant et rassurant d'autrefois. Non, ma vie venait une fois encore de se briser. Ce que je craignais le plus au monde m'était arrivé aujourd'hui aussi : je venais de perdre mes enfants. La douleur qui me lancinait le coeur ne pouvait être réparée, même par Carlisle.

    Et un beau jour, trois années après pour être précise, le coup de fil du siècle. J'étais seule à la maison, et n'attendais pas Carlisle avant tard dans le soir. Comme à mon accoutumée, je m'occupais distraitement de plantes que j'avais rapportées de courses. Mais mon esprit vagabondait loin de là. A des centaines de kilomètres de là. Pourtant, lorsque mon mari revint, le soleil n'avait pas encore disparu à l'horizon. Je l'avais regardé, étonnée. Même si son visage était calme comme à l'accoutumée, je voyais bien que ses yeux pétillaient de joie. Une joie que je ne compris pas immédiatement. Lorsqu'il m'annonça qu'il avait reçu un appel de notre fille, Alice, je restais interdite durant quelques secondes. Malgré mon silence, il continua à m'expliquer la situation, comme quoi un autre cadavre aurait été retrouvé devant notre maison. Vraiment ? Mais quelle importance ? La seule chose qui avait marqué mon esprit à cet instant précis avait été cela : j'allais bientôt retrouver ceux que j'aimais. Rien que cette idée m'emplissait d'une joie contre laquelle je ne pouvais lutter - je n'en avais de toute façon pas envie. Cette nuit-là, tandis que Carlisle et moi faisions nos valises, m'avait parû la plus belle depuis notre départ de Los Angeles.

    Le trajet jusqu'à la ville des Anges me parût durer une éternité. Je ne tenais guère en place, et ressemblais à cet instant précis plus à un enfant qu'à une mère de famille. Mes doigts, enlacés à ceux de Carlisle, manquèrent d'ailleurs de les lui briser tant l'excitation me faisait les serrer. Nous arrivâmes finalement dans la ville du cinéma tôt le matin. Carlisle et moi regagnâmes la maison. Lorsque je passais la porte, je me rendais subitement compte de la raison de ma venue. Un mort. Une personne était morte, et je m'en étais réjouie. J'eûs soudainement honte de moi. Honte d'avoir pu négliger ce fait. Honte d'avoir pu être joyeuse alors que Carlisle détestait par-dessus tout la violence. Ce dernier, après avoir déposé nos quelques affaires dans le salon, m'embrassa avant de s'enfoncer dans la forêt. Je savais qu'il souhaitait avant tout revoir Edward. Je ne pouvais lui en vouloir de me laisser ici. Edward était le premier à l'avoir rejoins dans sa famille. Le lien qui les unissait m'avait toujours fasciné, et je remerciais Dieu chaque jour que - de nombreuses années de par le passé - les Volturi est épargné notre fils. Jamais Carlisle ne s'en serait remis.

    A présent seule dans ce grand salon, j'entrepris de regarder autour de moi. Tant de souvenirs me revenaient ! Il me semblait revoir Emmett et Jasper se chamailler pour X et Y raisons devant la télé. Je revoyais à la perfection Alice et Rosalie rentrer de leur tournée des magasins, les mains pleines de sacs à craquer chacune. Je me remémorais à la perfection les rires de petite-fille résonner à travers la villa, alors qu'elle était à l'étage avec Jacob. Il me semblait même entendre la douce mélodie émanant du piano, qu'Edward jouait pour nous tous, tandis que Bella était assise à côté de lui. Je fermais un instant les yeux, la dure réalité du départ de Bella me revenant en pleine face. Je rouvrais les yeux et décidais de ne pas me laisser emporter dans une nouvelle vague de chagrin. bientôt, je retrouverais mes enfants, et tout irait pour le mieux. J'entrepris alors de faire un peu de ménage, la maison ayant prit un peu trop la poussière à mon goût durant notre absence. Prennant les quelques bagages que Carlisle et moi avions ramené, je grimpais les escaliers et commençais mon rangement.



    [ ... ]


    Je n'avais guère eu le temps de faire la moitié de la maison qu'une présence près de la maison me fit relever la tête. Dans ma chambre et celle de mon époux, je restait un instant immobile, les sens en alertes. Les pas étaient souples, agiles et discrets. Aucun doute, il s'agissait là d'un vampire. Mais cette façon précise de marcher m'était pourtant familière. Des pas semblables à ceux d'une danse gracieuse. Et cette odeur... Alors que la porte d'entrée s'ouvrait, je sautais sur mes pieds, persuadée de l'identité de mon "visiteur". Alice se tenait dans le salon, et je décidais de dévaler les escaliers comme je ne le faisais que rarement. Avant même qu'elle n'ait pu réagir, je l'enlaçai de mes bras et la serrai contre moi, comme si nous ne nous étions pas vu depuis des années et des années. Et quoi ! C'était ce qui était arrivé non ?

      « Oh, Alice ! Tu m'as tellement manqué ! »

    Après quelques instants, je me détachais d'elle pour la laisser respirer - façon de parler, cela va de soit. Je la regardais alors, comme éblouit et fascinée par ce que je voyais. Mon lutin ! Ce qu'elle avait pu me manquer ! Je remarquai soudain que quelque chose n'allait pas. Quelqu'un manquait à l'appel, quelqu'un sans qui Alice ne se déplaçait presque jamais.

      « Jasper n'est pas avec toi ? »

    Alors que je lui demandais cela, je regardais autour de moi et inspirais profondément. Non, aucune trace de mon fils. Cependant, vu la mine réjouie de ma fille, je n'avais pas d'inquiètude à avoir. J'étais seulement peinée - bien que le bonheur de revoir Alice surplombait tous les autres sentiments - de ne pas pouvoir revoir mon fils à cet instant précis.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous



« Home, sweet home » [ Alice C. ] Empty
MessageSujet: Re: « Home, sweet home » [ Alice C. ]   « Home, sweet home » [ Alice C. ] Icon_minitime11.11.09 21:51


  • Trois ans. Imaginée de passer à une vie qui se trouvait être remplie de rebondissements. Deux frères, deux sœurs, une nièce, des parents et mon mari, et du jour au lendemain j’avais en quelque sorte tout perdu. Après le départ de Bella, la famille avait mis très peu de temps pour se disloquer et devenir des parties dans le grand pays qu’était les états unis. Jusqu’en Alaska où Jasper et moi avions trouvé refuge. Enfin, refuge tout était relatif, j’étais la seule à revenir à Los Angeles, pour m’occuper de mon magasin de prêt à porter. C’était la seule chose qui me disait que j’avais encore un peu d’occupation dans la ville des Anges. En Californie. Peu adéquat pour des vampires qui ne devaient pas être au soleil. Certes les légendes à propos du soleil étaient entièrement fausses, et non, ni les pieux et encore moins l’eau bénite, tout cela était faux. Mais on pouvait noter que le soleil nous rendait la peau étincelante, comme des diamants. Et c’est pour cela que je restais toujours peu à Los Angeles, préférant le climat de Denali en Alaska. D’autant plus, que personne n’était à Los Angeles, et pourtant à chaque fois que je revenais, j’espérais secrètement revoir Rose, Emmett, Carlisle ou bien même Esmée. Edward ou bien ma chère et tendre nièce Renesmée. Au mieux ma meilleure amie, plus qu’une sœur, Bella. Mais j’avais bien cessé d’espérer à chacun de mes voyages. Ils étaient plus que douloureux qu’autre chose. Et pourtant, j’avais besoin de revenir. Pour m’occuper de mon magasin et ne pas le laisser tomber. Quelque chose à ce que je tenais plus que tout. Mon magasin, pour une fois que je changeais un peu mes habitudes, au lieu d’être élève dans un énième lycée. Bien que ma jeunesse avait pu surprendre beaucoup de personnes, j’étais sure de moi. J’avais de l’expérience, même si mon apparence pouvait sembler dire le contraire.

    Et puis, un jour en rentrant dans notre maison, j’avais découvert ce cadavre. Alertée par les autorités, j’avais aussi vite mis au courant ma famille. Carlisle surtout, et par la suite les autres. Heureuse d’avoir eu un contact avec eux. La voix de Carlisle m’avait manqué. Après leur avoir annoncé cela, je retournais à Denali pour mettre au courant Jasper. Pas que je voulais absolument le faire revenir à Los Angeles. Mais il m’avait suivi, pour moi. Encore une fois. Et je ne l’aimais que pour ça. Nos adieux à Tanya se firent plus comme un à bientôt. Nous ne mettrions pas longtemps à revenir à Denali, je le pensais, je l’espérais. J’aimais Tanya et ses deux sœurs. Néanmoins, j’aimais encore plus ma famille, Esmée && Carlisle, Emmett && Rose, Edward && sa fille. Et Bella bien évidemment, mais là, une fois encore je ne fus pas au bout de mes surprises, elle avait bien rejoint le groupe d’Innocence. Une fois que nos valises furent faites, Tanya me recommanda de passer leurs salutations à Carlisle et Esmée. Puis la route fut prise avec Jasper à mes côtés, je tentais de faire le vide dans mes pensées pour voir quelque chose de précis dans mes visions mais rien me vint. Tout resta vide. Et une fois chez nous à Los Angeles. Tout irait mieux nous serions à nouveau ensemble tous. Une fois garée, je marchais en direction de la maison. Sentant une bonne présence à l’intérieur.

    Mes pas me conduiraient jusque la maison, je poussais la porte déjà ouverte. Je savais qu’Esmée devait être là et peut être Carlisle, reconnaissant les odeurs. Jasper me prévint qu’il partait chasser, et qu’il revenait après un ou deux cerfs attrapés. Cette odeur agréable me fit sourire. Pour penser à autre chose, j’allais les revoir tous. Rentrant de mes pas souples. La maison semblait ouverte depuis peu, mais on voyait qu’une âme était venue donner une nouvelle vie à cette maison. Je continuais d’avancer, jusqu’au séjour où se trouvait encore tous nos équipements high-tech que nous avions pris trois ans auparavant. Et d’un coup, un courant d’air, me fit retourner et je vis celle que je considérais comme ma mère descendre et me prendre dans ses bras. Son odeur et tout ce que je ressentais à ce moment là fut aussi soudain, que je ne m’en remis pas directement. Serrant ma mère dans mes bras, heureuse de la retrouver.

    « Toi aussi, toi aussi Esmée, ça fait beaucoup de bien de te revoir. »

    Quand elle deserra son étreinte, elle me posait ensuite la question à propos de Jasper où il était. Je lui souris, heureuse de voir, que mon mari lui manquait aussi.

    « Il est parti chasser, il va revenir bientôt je suposse. Et Carlisle où est-il ? Et New York comment c’était ? »
Revenir en haut Aller en bas
Esmé Anne Cullen
Six milliards d'âmes. Et parfois, on aurait besoin que d'une seule ...

Esmé Anne Cullen


▬ prénom / pseudo : Alex / Booboo
▬ nombre de messages : 48
▬ Copyright : Me
♦ reflection : « Home, sweet home » [ Alice C. ] 152qk

relationships
    ♦ love, like 'n hate
:

« Home, sweet home » [ Alice C. ] Empty
MessageSujet: Re: « Home, sweet home » [ Alice C. ]   « Home, sweet home » [ Alice C. ] Icon_minitime22.11.09 19:54

« Home, sweet home » [ Alice C. ] 151go « Home, sweet home » [ Alice C. ] SuspectIcon1

« Home, Sweet Home »


    Pixie ! Ma petite Pixie était de retour à la maison ! C'était en partie grâce à elle si Carlisle et moi étions revenus de New-York. Et jamais je ne pourrais assez l'en remercier, bien que ce fût dans un sens involontaire. Après tout, ce n'était pas Alice qui avait organisé la mort de ce pauvre homme retrouvé devant notre porte, si ? Non, bien sûr que non. Elle n'avait fait que le voir à travers une de ses nombreuses visions. Vision qui avait mené à appeler Carlisle, et appel qui avait mené à nous faire revenir ici. La joie qui ressortait de la retrouver auprès de moi n'avait rien de comparable. J'aurais alors pu tuer la personne qui aurait voulu me séparer de ma fille à cet instant présent. Elle était là, et c'était l'essentiel. Lorsqu'elle assura que me rrevoir lui faisait aussi énormément de bien, une bouffée de sentiments mélangées me submergea. Elle n'avait pas prononcé le mot qui faisait tant battre mon coeur mort, mais c'était comme si elle venait tout juste de le faire. Trois ans. Que cela pouvait être long, même pour un être immortel ! Je la regardais, souriante. Elle n'avait pas changé. Son corps toujours aussi frêle se mouvait avec la même dextérité et la même souplesse que lors de notre séparation. Ses yeux pétillaient de cette même malice qu'auparavant, lorsqu'elle venait me chercher pour m'emmener dans une de ses longues journées shopping. J'avais beau ne pas porter le shopping dans mon coeur, les après-midis que j'avais pu passer en compagnie de mes filles m'avaient pourtant toujours semblé extraordinaires et trop courtes. Alice avait ce don - en plus de sa clairvoyance - de savoir faire en sorte de ne jamais s'arrêter, et ainsi éviter tout danger d'ennui quelconque. Ce n'était guère étonnant que je me sois ennuyée de sa présence durant ces trois longues années, et ce bien que Carlisle remplissait une immense part du vide qui m'habitait. Carlisle, mon doux et tendre époux. Que serais-je devenue sans lui ? Je serais morte, bien évidement. Et ce depuis de très nombreuses années.

      Il est parti chasser, il va revenir bientôt je suposse. Et Carlisle où est-il ? Et New York comment c’était ?

    Parti chasser ? Je m'en voulais subitement de m'être éloignée de lui aussi longtemps. Bien qu'il soit très fort, Jasper restait néanmoins celui qui avait le plus de difficulté en présence de sang humain. J'espérais alors que tout ce soit passer pour le mieux de leur côté, et qu'aucun « inconvénient » n'ait croisé leur route. Mais non, bien sûr que non. Encore une fois, si quelque chose était arrivé, Alice n'aurait pas été aussi souriante. A moins qu'elle ne souhaitait me le cacher, comme le faisait habituellement les membres de notre famille. Je chassais rapidement ces idées saugrenues de mon esprit et souriais de nouveau à ma fille.

      Carlisle est parti rejoindre Edward en forêt.

    Alice pouvait facilement comprendre que mon mari souhaitait revoir en premier son frère. Après tout, même si personne ne le disait, nous savions tous qu'un lien étrange et puissant unissait Carlisle et Edward. Ce dernier avait été le premier dans la famille Cullen. Et ce donc avant moi. Je n'étais pas jalouse de leur relation. Comment une mère pourrait-elle être jalouse du lien qui unissait son époux et un de ses enfants ? Au contraire, les voir tous deux ensemble me rendait heureuse. Un bonheur que je ne pourrais vraiment expliquer. Mais le fait était là.

      Nous avons actuellement fait plusieurs rencontres intéressantes à New-York... D'autres vampires érudits avec lesquels nous sommes restés quelque temps, bien qu'ils ne partageaient pas notre « vision » des choses...

    Je frissonnai en me rappelant un soir où, après être sorti, Carlisle et moi avions retrouvé nos amis en pleine séance de repas. Le regard déçu de mon mari et notre dégoût mutuel pour ce qui venait de se passer sous nos yeux me semblaient encore si récent. Pourtant, cela n'avait-il pas eu lieu peu de temps après notre départ de Los Angeles ? Je n'étais plus habitué à de tels actes de barbaries purs. Deviendrais-je trop sensible ? Non. Je gardais seulement mon humanité intacte, cotrairement à eux. Soudain, alors que j'allais poser une question à Alice, je me souvins subitement de quelque chose. Je lui fis signe de rester ici et grimpais les escaliers dans un souffle. Après m'être faufilée dans notre chambre à Carlisle et moi, je fouillai les diverses valises que nous avions ramenées. Non, c'était impossible. Je ne pouvais quand même pas les avoir oublié ? Tandis que l'agacement pointait le bout de son nez, ce fût finalement le soulagement qui pris la place en moi. Je descendis alors fièrement les escaliers après seulement quelques secondes d'absence. Je tenais dans les mains une magnifique robe de satin noire et des chaussures à talons semblables. Je les tendis alors à ma fille.

      Tiens. J'ai pensé à toi en passant devant un magasin channel, et je me suis dis que cela pourrait te plaire. Je sais que tu aimes faire tes propres achats, mais j'étais persuadée que tu serais ravissante là-dedans...

    Je me sentais presque honteuse de dire cela. Habituellement, Alice préférait faire elle-même ses achats, en profitant pour faire ceux de toute la maisonnée. Rares étaient les occasions où nous pouvions nous-même acheter nos propres habits. Nous nous y étions finalement habitués à l'accoutumé, bien que les sommes faramineuses qu'Alice dépensait en habit nous faisait parfois bondir, Carlisle et moi. d'un autre côté, cette robe et ces chaussures n'avaient pas été donné. De toute manière, je savais qu'Alice ne les aurait jamais acceptées si le prix n'avait pas eu au minimum deux zéro. De plus, peut-être savait-elle déjà que je voulais les lui offrir ? Après tout, personne sur terre ne pouvait faire de surprise à ma fille. Personne hormis les modificateurs.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





« Home, sweet home » [ Alice C. ] Empty
MessageSujet: Re: « Home, sweet home » [ Alice C. ]   « Home, sweet home » [ Alice C. ] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
« Home, sweet home » [ Alice C. ]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» A new sweet come back...
» Sweet friends of minneee!
» Sweet dreams or horrible nightmares? [Pv Calypso
» ALICE IS BACK !!
» Alice M. Cullen

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: » Home :: — San Gabriel Mountains-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser