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 Une alliance inévitable ( everybody )

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Demetri Volturi
Innocence M. Blood
Renesmée C. Cullen
Bella M. Cullen
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Bella M. Cullen
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Bella M. Cullen


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MessageSujet: Une alliance inévitable ( everybody )   Une alliance inévitable ( everybody ) Icon_minitime10.06.09 17:20

Une alliance inévitable ( everybody ) 090608071559196621


Une alliance inévitable
.


    Aujourd'hui, il était prévu un beau temps. Ce soir là, était organisé une fête sur la plage où toutes les stars ainsi que tous les Cullen étaient conviés ... Un grand match de volley devait avoir lieu, je devais donc me préparer pour l'occasion. Après avoir passé la nuit à me promener dans la forêt, je rentrai à la maison et me dirigeai directement vers le premier étage. Dans la chambre de Renesmée, le silence régnait et les respirations délicates de deux personnes ressemblaient aux vagues de l'océan. Je restai quelques minutes devant la porte et repensai au petit bébé que j'avais mis au monde. Elle avait grandi trop vite. Je regrettai tant de ne pas avoir pu partager des moments avec elle à jouer avec des poupées où bien à lui choisir de jolies petites robes roses ... Avec un léger soupir, je passai mon chemin et me rendis vers la direction que j'avais prise au départ = la salle de bain. J'ouvris la porte pour rentrer à l'intérieur, mais avant même d'être entrée, un air chaud sortait déjà de la salle. Ce que je pouvais haïr les douches communes. Les hommes avaient cette qualité pour prendre une douche chaude et pour ne jamais ouvrir la fenêtre pour aérer l'endroit après ... Je m'avançai sur le carrelage propre et allai ouvrir la fenêtre. Je me déshabillai, mis mes affaires sales dans la corbeille prévue pour cet effet et entrai dans la douche. Je tournai le robinet d'eau froide au maximum et me mis en dessous. Les gouttes d'eau perlaient doucement sur mon visage. Je sortis quelques minutes plus tard et mis un peignoir sur mes épaules. Je frottai mes cheveux mouillés pour les sécher et sortis finalement. Traversant le couloir, je rencontrai Emmett ...

    - Hey ! Un bras de fer ça te dit ?
    - Rêve ! Tu gagneras jamais ...

    Il finit par descendre les escaliers en riant ... Je continuai ma route et arrivai à ma penderie ... Alice venait d'y ajouter la veille de nouveaux vêtements de sa création. Je regardai dans le tiroir rempli et songeai à faire plaisir à ma belle-sœur. Je trouvai une belle robe mauve en soie aux broderies parfaites. Elle était montée en bustier et avec une ceinture noire, la robe serait magnifique ... Je posai l'ensemble sur le lit et retournai dans la penderie. Cette tenue serait celle du soir. J'ouvris un nouveau tiroir, attrapai un jean et une chemise rouge. Je m'habillai à une vitesse stupéfiante. Je pris les premières chaussures qui me passèrent sous la main et les enfilai. Je descendis au rez-de-chaussée et sortis de la maison en passant par la terrasse ... Dans un élan d'énergie, je me mis à courir dans la forêt ...

    [size=18]{ ... }


    Le retour fut rapide, j'avais passé toute la matinée ainsi que tout le début de l'après-midi dans la forêt. Je profitais du beau temps et de la discrétion que me donnaient ces nombreux arbres. Personne ne m'avait rejointe, personne ne m'avait dérangée. En arrivant à la maison, je fis un tour vers la cuisine et me lavai les mains. Je vérifiai les provisions pour les modificateurs et Renesmée ... Finalement, je remontai à l'étage et rencontrai Renesmée et Jacob passant par là ...

    - Vous venez ce soir !?
    - Mais bien sûr, on ne manquerait cela pour rien au monde, n'est-ce pas Jacob ?
    - Euuh oui si tu le dis !

    Je souris. Jacob n'avait pas l'air convaincu, où peut-être était-il pensif ? Je n'en savais rien. En tout cas, je poursuivis mon chemin et rejoignis la chambre. Edward s'avança vers moi et je le pris dans mes bras. Après quelques baisers langoureux, nous nous couchâmes sur le lit et nous nous serrâmes indéfiniment, et cela jusqu'à ce qu'Alice vienne perturber notre calme ...

    - Allez Bella ! Dépêche-toi ! Il faut qu'on se prépare ...

    Je regardai ma montre et soupirai désespérément. Ce n'était que le milieu de l'après-midi et la soirée avait lieu le soir, Alice avait l'habitude de se prendre trop à l'avance. Après tout, elle prenait tellement de temps pour choisir ses vêtements, puis ses chaussures, à se coiffer, se maquiller, à se vernir les ongles et à regarder son reflet que l'on avait au moins besoin de quatre bonnes heures. Edward me sourit quand Alice sortit dans le couloir pour aller chercher Rosalie. Il posa un baiser sur mon front et je dus quitter le confort de ses bras. J'attrapai ma robe qui était pendue à l'armoire de la chambre ainsi que tous les accessoires nécessaires à l'occasion. Je rejoignis Alice dans sa salle de travail et m'assis sur une chaise. Nous commençâmes par relooker Renesmée, puis nous passâmes à Rosalie, et dans un désespoir total, ce fut mon tour. Mais cette fois, je ne me laissai pas faire. Je choisirai le maquillage que je voulais et rien d'autre ... Du coup, Alice me laissa me débrouiller et retourna à son cas. Je m'habillai, mis la ceinture noire que j'avais prévu pour donner de l'effet à la robe, donnai un peu de volume à mes cheveux et passai au maquillage. Je me mis devant un grand miroir et commençai par mettre un peu de fond de teint, puis j'ajoutai quelques touches de phare à paupière, je mis de la baume cicatrisante sur mes lèvres et du crayon sous mes yeux. Après quelques coups d'oeil dans la glace, je finis par rejoindre les filles qui choisissaient toujours la robe d'Alice ...

    { ... }


    Nous arrivâmes les premiers à la fête. Nous, les femmes, nous rendirent directement à la salle des fêtes, alors que les hommes décidèrent de monter le terrain de volley. Rosalie, Alice, Renesmée, Esmé et moi, nous installâmes autour d'une table et parlâmes de l'histoire des cousines Aleksandrov. Soudain, Edward s'avança vers nous, l'air grave.

    - Vite ! Il faut que vous veniez avec nous !
    - Qui y a-t-il de si urgent ? La fête sur la plage n'a pas encore commencé. Les terrains de volley n'ont même pas encore été montés !
    - Rosalie, tais-toi et suivez-moi ...

    Je courus derrière Edward, suivie des autres. Quand nous arrivâmes sur la plage même, un grand feu nous faisait face. Se consumant à l'intérieur, on pouvait apercevoir deux silhounettes inertes. J'en eu des frissons. Je vis, de l'autre côté du feu, des gens que je connaissais, et soudain, un attroupement se formait tout autour. Carlisle s'avança vers nous, après avoir ramassé un papier sous une pierre. Il la tendit à Edward et ce dernier la fit passer à tous les membres de la famille ... La soirée n'allait pas être de tout repos ... Surtout quand on apprit par la lettre que les deux victimes étaient Venera & Mariska ...
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Renesmée C. Cullen
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MessageSujet: Re: Une alliance inévitable ( everybody )   Une alliance inévitable ( everybody ) Icon_minitime11.06.09 1:17

La veille avait été bein amusante. Nous avions passer la soirée chez Ella qui nous avait invité à souper avec elle. Apprenant une grande nouvelle de quoi j'allais être la marraine de son petit garçon et Jake le praain. J'avais été tout excité, jusqu'à ce que je m'apperçoive que je ne savais aucunement comment m'y prendre pour ce rôle...Mais, l'intuition m'était venue que l'instinct prendrait alors le dessus. Jake, lui avait parler du rôle du parrain dans les croyances de sa meute. J'avais trouvé ça génial, de plus que je pourrais prendre exemple là-dessus, mais d'un point de vue féminin... La soirée c'était terminé en beauté, et assez tard il faut le dire. Nous avions parlé de tout et de rien durant un bon bout de temps. Lorsque j'avais posé la tête sur le torse de Jake, je m'étais instantanément endormie, épuiser par ma journée et ma soirée. La nuit avait été bien normale, les rêves n'avaient pas étét à profusion, ils avaient été par séquence. Habituellement, Je rêvais à des choses qui se mélangeaient constament. Parfois c'était comment je voyais mon futur, d'autre comment je voulais ma vie, et parfois, des flash-backs de mon passé...Il ne m'étais jamaisn arrivé de revoir des images de mes jeunes anées. Elles revenaient seulement à partir de 5 ans. Ben, disons plutôt 5 ans en apparance parce que je n'avais que 7 ans en réalité. Je me réveillais bien après le soleil. Disons qu'il était à peut près midi lorsque mes paupières se soulevèrent. Je reprenaient doucement sens, au fur et à mesure que mon corps se réveillait. La première chose que je sentis cest la chaleur de Jake, ensuite, ma tête sur son torse, puis son corps près du mien...Ensuite, ce fut les draps léger qui nous recouvraient et finalement, les sons, les mouvements et les formes. Je décidais alors de relever la tête, pour décrouvrir un Jake pensif, qui me regardait sans vraiment me voir. Alors, je lui souris, et posais mes lèvres sur les siennes comme pour le sortir de sa torpeur... Comme s'il revenait à la vie, il me sourit et répondit instantanément à mon baiser.

-Ça va? Bien dormi?
-Oui et toi&
-Très bien...Tu as l'air pensif.
Oh, non j'étais seulement un peu perdu...


Je ne fis que lui sourire, décidant que ce n'était probablement pas important. Alors, je me levais tranquillement, me rendais vers la salle de bain et prenais une douche rapide, mais brûlante. J'adorais la sensation de l'eau qui passait sur mon corps, qui me donnait l'impression d'être propre de toute impureté, autant physiquement que pour mon âme... Oh lala, grosse phylosophie! >.< Je fermaisn à regret l'eau de la douche, enfilai une serviette autour de ma taille, séchai partiellement mes cheveux et me dirrigai vers ma penderie. Alice, m'avait transmise sa passion de la mode et des vêtements et belles choses...Tellement qu'il commençait à manquer de place, alors je comprimai de plus en plus. Les chaussures occupaient une grande place dans ma penderie. J'adorais les chaussure, j'en achetais assez pour 30 personnes et il n'y en avait jamais assez pour toute mes tenues. C'était incroyable, mais puisque je n'avais plus de place, je fesai des agencement avec style pour utiliser plusieurs fois la même paire. Je commençai par choisir mon habit de la journée. Un simple jean avec un haut mauve et des tongs noires. Mes cheveux je l'ai coiffai bien simplement, les brossant et les relevant en chignon. Je les fesai tenir à l'aide de plusieurs attache et élastique. Mes cheveux étaient assé épais et fournis, alors je devais faire toute un procédé complexe pour qu'ils tiennent bien. Lorsque je sortis, Jake était déjà habiller, assis sur le lit toujours aussi pensif. Je levai les yeux au ciel, lui prenant la main pour le traîner jusqu'à la cuisine, je mourrai de faim! Et lui aussi, probablement. Lorsque nous sortîmes de ma chambre, nous croisions ma mère qui nous demanda si nous allions à la soirée organisé sur la plage! Je lui répondai que c'était certain, je ne manquerai pas une occasion de bien m'amuser, ça c'est sûr! De son côt. Jake ne fit que dire un léger oui, toujours la tête dans les nuages. Je le tirais vers la cuisine, lui préparai un plat de pâte avec sauce bolognaise. Moi, je préférai un petit bout de saumon. Je le laissai ensuite partir faire sa ronde avec Sethounet et à mon tour je me rendai à la forêt, pour prendre ma ration de sang de la semaine...

{...}

Je ne sais pas combien d'heure s'écoulèrent entre ma partie de chasse et le moment où je me retrouvai sur la chaise de coiffure d'Alice, mais sûrement pas des siècles...Elle était même venue me chercher à l'orée du bois, alors que je revenais tranquillement vers la maison pour me dire de me dépêcher, il fallait encore trouver ma tenue pour la soirée, me coiffer et me maquiller. Je souris bêtement et la suivi sans torp de résistance. Je passais devant Jake qui me souris moqueur de me voir passer avec la reine des moment interminables de préparation. Je lui fit un grand sourire avant de disparraître dans la salle de bain, y trouvant déjà ma mère et ma tante, Rosalie. Je leur souris, embrassai tranquillement ma mère et me laissai assoir sur la chaise devant le miroir. Alors, Alice entrepris de me coiffer avec délicatesse et vitesse, changeant d'idée une bonne dizaine de fois, défaisant et refaisant une coiffure deux fois, pour se dire que ce n'était pas parfait avec ce que j'allais porter...Elle m'avait choisi une belle robe bustier rouge sang de sa nouvelle collection. Décidément, le rouge était ma couleur de l'année. Je finis pars fermer les yeux, en attendant que ma tante adorée ne finisse... je crois que je passais encore deux heures assise sur ce petit tabouret avant qu'elle ne termine son oeuvre. Lorsque j'ouvris les yeux, je me découvris, les cheveux laisser libre sur les épaules, tout bien frisés et les mèches qui me tombaient dans la visage habituellement relevé vers l'arrière, retenus avec une pince magnifique. Je souris à ma tante avant de laisser la place à Rosalie pendant que ma mère m'aidait à mettre ma robe sans défaire ma coiffure, ce qui serait impardonnable puisque je devrais encore passer 2 heures assis sur cette chaise! Lorsque chose fut faites, ce fut à ma mère de se faire coiffer. Je savais que c'était une pure torture pour elle, alors je lui lançais parfois des sourire d'encouragement, Mais, soudain, voyant le temps passer, Alice laissa ma mère se débrouiller, ce qu'elle sembla apprécier, pour s'occuper de sa propre personne. Je fu la première à sortir de là, bien maquillé, ma robe rouge bien ajusté, mes talons hauts blancs s'alliant superbement avec la robe et mon visage finement maquillé. Je descendit les escalier pour découvrir les hommes qui attendaient déjà dans le salon, ainsi qu'Esmé qui avait toujours eu le don de se préparer rapidement et avec un goût extra. Je me dirrigeais vers Jake, assurant que les autres arrivaient bientôt.

{...}

Je me rendai à la plage avec les autres. Nous étions évidement les premiers. Les hommes décidèrent de monter les terrains de Volley-Ball, moi, je suivais les femmes à l'intérieur. Je prenais place entre me grand-mère et ma mère autour d'une des tables monter pour l'occasion. Nous discutions entre nous lorsque mon père entra dans la pièce, l'air bien soucieux. Je relevai la tête, me demandant bien ce qui pouvais se passer. Il nous demanda très clairement de le suivre à l'extérieur. Rosalie répliqua, mais moi, je préférai suivre tout de suite, son expression m'inquiétai quelque peu. Arriver à l'extérieur, je voyais instantanément l'immense feu qu'il y avait sur la plage, distinguant les deux silhouettes qui se dégagaient à travers les flammes. Je me rendai immédiatement aux côté de Jake, levant vers lui un regard quelque peut horrifié. Alors, mon père fit circuler le papier que Carlisle lui avait donné. Lorsqu'il arriva entre mes mains, je le lis attentivement, plusieurs dois, n'en croyant pas mes yeux. Je trouvais cela horrible, c'était dégoûtant. Je frissonais tranquillement avant de passer le papier à Jake et de relever les yeux vers le tas en flamme. Mariska et Venera se conssumaient à travers les flammes.

Alors, on fait quoi?

Ça paraissait bien stupide comme question, mais c'était la seule chose que j'avai trouver à dire...
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MessageSujet: Re: Une alliance inévitable ( everybody )   Une alliance inévitable ( everybody ) Icon_minitime13.06.09 16:52


    Après une soirée riche en émotions, en effet hier soir Nessie et Jacob et moi-même avions passé une soirée ensemble ou je leur avais annoncé la naissance de mon futur petit garçon. Grâce à mon don de voyance j’avais pu voir son sexe et donc savoir qu’il serait un petit garçon. Jake Andréa Foller ; et j’en avais profité pour leur demandé d’être les parrains et marraines. Cela m’avait énormément touché de les voir aussi ému et qu’ils acceptent surtout. Cela fini je passais la journée dans un lieu que je détestais tellement, les hôpitaux je les avais en horreur, j’y avais déjà passé une journée lors de mon arriver à Los Angeles autant vous dire que devoir y retourné m’exaspérée. Cette fois-ci j’avais rendez vous à 10H00 pour une sorte d’examen de femme enceinte dont j’ignorais le but. J’arrivais quelques minutes en avance, j’étais du genre à être plutôt en avance qu’en retard. Enfin je m’asseyais dans la salle d’attente, les jambes croisées et mon sac à main sur le coté. J’attendais voyant défiler les gens sans que je ne passe. L’attente qu’elle invention horrible de l’être humain. Je ne disais rien … Attendant désespérant que l’on m’appelle.

    - Ella Foller. Dit la dame de l’accueil me cherchant du regard.

    Je me levais et me dirigeais vers elle, et suivait ensuite le chemin qu’elle m’indiqua. Etrangement je me retrouvais dans la même salle que la dernière fois. Un jeune médecin arriva, il semblait sympathique, et assez doux dans ses gestes. Il me rassura au mieux, et me fit remplir un questionnaire sur mon bébé. Bien sur je ne dit rien sur le fait que je connaissais son sexe, trop suspicieux. Après une série de teste il me proposa de discuter de sa futur naissance et de prendre d’autre rendez vous pour les écographies. J’étais plus qu’heureuse d’être tombé sur lui. Je lui faisais confiance, bien sur j’aurais préfère le Docteur Cullen mais il n’était pas la aujourd’hui et il ne devait pas s’occuper du service maternité. Mais bon je rester avec James Méson. J’y restais plusieurs heures puis quittait le salle assez heureuse de cette visite. Depuis que j’avais appris que j’allais devenir Maman je passais mon temps à toucher mon ventre. J’adorais ça. J’avais qu’une envie le tenir dans mes bras et prendre soin de lui.

    En sortant de l’hôpital je me dirigeais directement vers le centre commercial, voulant trouver une tenue pour la fête de ce soir, Alice Cullen était très doué pour organiser les fêtes, sa derniers fête avait était des plus intéressante. Un volley, au lycée mon sport préfère. Je ne dirais pas que j’étais la meilleur mais assez doué. J’avais donc hâte de passer cette soirée. Je trouvé en ville un short blanc et un tee rouge qui serais parfait pour une soirée à la plage avec tout mes amis. Je rentrais chez moi croisant mon homme, il était enfin rentrée, et rien que pour moi. Je lui annonçais que notre petit allait bien et que mes amis avaient accepté. Josh était toujours du genre jaloux et je sais qu’il était un peu Jaloux de Jake même si il me faisait confiance.

    Nous arrivions à la fête, les filets n’étaient pas mis et pourtant les jeunes, les stars envahissait le sable, je croisais plusieurs amis et star tel que Ana ou encore Miley ou Mackenzie. Un attroupement se forma autour du feu de camp qui était d’ailleurs magnifique. Sans y prendre vraiment attention pour le moment jusqu'à ce que des cris retentissent, assez douloureux et horrible. J’ignorais encore, je n’avais rien vu mais je tremblais. Les Cullen arrivèrent. J’aperçue Bella, Edward, Nessie, Jacob, que je connaissais déjà et ensuite Jasper, Alice, Rosalie et Emmett que je n’avais pas eu la chance de rencontrer suivit de Carlisle et Esmée. Je tremblais mais je ne pouvais m’empêcher de m’approcher, d’un pas prudent je m’avançais vers le feu et une vision d’horreur s’offrit à moi. Deux jeunes femmes en train de bruler, c’était horrible et cruelle, j’en étais terrifier, je reconnu Verena le jeune vampire que j’avais rencontré à une soirée et l’autre dont je ne connaissais pas l’identité. Je voyais le visage terrifier de Nessie après la lecture de la lettre. Je me postais à coté d’elle.

    Comment peut ont être aussi cruel.

    Je parlais surtout à moi, même. Je ne pensais pas que le monde était si noir et affreux. Par un geste instinctif j’attrapais la main de Nessie comme pour me rassurer et m’éviter de m’évanouir. Josh lui était horrifié encore plus que moi à mon grand étonnement.

    Puis-je ?

    Demandais-je en désignant la lettre, je voulais la lire. Je ne comprenais pas ce qui se passait mais j’avais peur pour la première fois depuis longtemps.

    Qui est l’autre femme ?

    Demandais-je à Nessie sans lui lâcher la main.
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Innocence M. Blood
DRAMA QUEEN « Nightmare before death
Innocence M. Blood


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MessageSujet: Re: Une alliance inévitable ( everybody )   Une alliance inévitable ( everybody ) Icon_minitime15.06.09 17:02

Une alliance inévitable ( everybody ) Jj10

        UNE ALLIANCE INEVITABLE .
        WIth Everybody .


      > On compare parfois la cruauté de l'homme à celle des fauves, c'est faire injure à ces derniers.


    Les jours passèrent, inévitablement. Je n'avais pas la prétention de croire que cela me préoccupait. C'était une chance d'être immortelle, parfois, lorsque le ciel s'assombrissait, marquant la fin d'une nouvelle journée, pour une nuit noire et terrifiante. Mais il m'arrivait, à de rares occasions, de prendre conscience du temps qui passe, éternellement, et irrémédiablement. Qui pouvait bien prétendre pouvoir l'arrêter ? Personne. La seule chose qui nous rendait, nous immortelle, si insouciants du temps qui fil, c'est le fait que les traces de notre passé ne soit guère marqué sur notre esprit. Nous n'avions rien à craindre de cela. Le temps n'était plus notre ennemi dés lors que notre coeur et notre souffle se stoppaient. Mais parfois, je regrettais que cela ne fut pas le cas. Que je ne sois pas aussi fragile au instants perdus que les humains que j'exécrais tant. Que je me trouve blasé de cette routine naturelle qui me semblait de plus en plus stupide et ignoble. Elle me rappelait à cette instant que j'étais éloigné de mon âme soeur depuis bien trop longtemps maintenant. Les seuls traces du temps, qui restait dans ma mémoire, était lié aux moments que j'avais passé loin de lui, depuis 7o ans. Je ne comptais pas vraiment, ou tout du moins je ne cherchais pas à me souvenirs combien de temps s'était déroulé depuis. Plutôt, je le savais, irrémédiablement, je savais depuis combien d'années je ne l'avais pas vu. Bien que parfois, j'aurai préféré l'oublier.

    Je me trouvais sur la colline d'Hollywood, fixant l'horizon avec un regard morne. Je ne savais que trop ce que je ferai ce soir. Je ne souhaitais pas m'enfonçait encore plus dans un quotidien qui me serait mortellement ennuyeux au bout du compte. Je voulais faire quelque chose. Aller contre mon humeur assassine, et blasée. J'avais constamment l'impression de vivre les même choses. De voir les même gens. Les même humains détestables que je me ferais une joie de tuer les uns après les autres. De vivre les même angoisses, de finir seule, complètement, irrémédiablement, alors que l'espoir qui m'habitait s'affaiblissait de jour en jour. Je voulais réagir, ne plus me sentir si seule dans un monde où je ne trouvais plus ma place. C'était si stupide dit ainsi. Ca sonnait aussi mal que dans les livres romantiques de ces humains. Et pourtant, il n'y avait d'autre formule pour décrire ce que je ressentais en ce moment. Cette lassitude qui me rongeait. J'aurai voulu pouvoir courir jusqu'en Italie, et me battre pour mes conviction, pour ma vie, pour tout ce qui constituait mon être si dégradé, si seul et si cruelle, en quelque sorte. Je ne voyais cependant pas comme tel. Je me sentais à ce moment si humain que ca en devenait effrayant. Est ce que les Hommes aussi avec conscience de la répétition constante des choses qui les entouraient ? Toujours les mêmes choses qui se disent, les même excuses, les même actes qui se veulent extrême et qui en deviennent communs et pathétique. Les mêmes amis, les mêmes disputes, les mêmes "Je t'aime" sans fond. Avaient-ils conscience de la chance qu'ils avaient d'être victimes des usures du temps et de pouvoir mourir ?

    Je les enviais, et je l'avouais sans crainte. Seule la honte m'empêchais d'aller voir ces êtres immondes pour me comporter comme eux. Mais je me questionnais, envisageait que je puisse être proche des humains, me comporter comme eux et vivre à l'heure rythme, suggèrerait-il le fait que je n'eus plus peur du temps qui s'éternisait et qui passait ? Cela ne changerait cependant rien au fait que je vive, moi, pour longtemps encore. Je préférais de loin, après réflexion, la vie que je menais, aussi horrible soit-elle, pour arrivait à un but que je m'étais fixé, plutôt que de me bornait à vivre comme tous les autres. Je ne pourrais pas devenir quelqu'un de bien, un végétarien, puisque c'est ainsi que l'on qualifierait à présent un bon vampire. J'avais bien trop besoin du sang et de la douleur des autres. Ca m'aidait à combattre la mienne.

    Pourtant, il existait dans ce monde des plaisirs simples, comme la chasse et le sexe, qui constituaient en majeur parti ma définition de ce que l'on pourrait appeler "bonheur" et que je me bornais à nommer "suffisance". Cela me permettait de vivre comme je le souhaitais, ou presque. En tout les cas, ce soir je souhaitais retrouver ses plaisirs, et le lieux où je le ferais se trouverait être la plage, où ce soir je croiserais probablement mes ennemis. Les Cullen. Il semblerait que l'une des leur eut décidé de donner une fête au bord de l'eau, en cette soirée agréable. Il ne devait pas faire froid, ou sinon il n'y aurait aucun intérêt à ce genre de réception. Tout le monde y était convié, ou plutôt, les habitants de LA l'était, et je me considérais pratiquement comme tel. Ce n'était que justice après tout, j'avais effectivement élu domicile dans cette ville, bien que je vive par procuration, dans l'appartement de Mariska.

    Alors que je me déplaçais en direction de la plage, invisible aux regards environnant, courant dans l'air marin qui traversait Los Angeles de toute part, je me mis a penser aux cousines. Les deux jeunes femmes, russes, je les avais rencontré séparément, mais elles m'étaient apparues comme fortes intéressantes, en soit, et bien étrange dans leur manières d'envisager le monde. Ce qui m'avait le plus agacé, ce fut leur similitude. elles étaient semblables, de toute part, autant physiquement - intégrant chacunes une beauté froide et insolite - qu'en caractère - tout aussi froid que leur apparence. Elles constituaient un duo de reines des glaces, et j'avais trouvé amusant de les rendrent immortelles. Elles étaient si inhumaines que cela ne changeait finalement rien à leur comportements. Et puis, depuis que je les avais découvertes au réveil de leur transformations, je ne les avais revu. J'en étais presque vexé, si leur comportement ne résultait pas d'une preuve que je les connaissais finalement bien. Mais tout de même, elles me devaient beaucoup, et j'aurais certainement préféré un peu plus de reconnaissance. Je n'avais pas pour habitude de transformer les humains. Même, elles étaient les premières que je changeais depuis bientôt 1oo ans...


{...}


    Le feu était flamboyant. Il me semblait être brulant, plus que de nature, et me mordait comme les crocs d'un serpent. Ou d'un loup puisque techniquement un serpent ne devrait pas être en état de me faire le moindre mal. Je sentais cependant, à cette instant, une stupeur sans nom qui rendait mon corps d'une immobilité de pierre. Mon souffle, artificiel mais habituelle, s'était stoppé dés lors que les flammes m'étaient apparus. Et depuis, je me trouvais là, au milieu d'une assemblée de plus en plus nombeuse, la plus proche des flammes, les fixant sans comprendre. J'entendais autour de moi des questions sans réponses, des intonations de stupeur et d'émerveillement. Je voyais de l'autre coté du bûcher immense, des corps se pressaient, mais qui restaient à bonne distance des flammes. La peur de se brûler. La peur de souffrir. Je n'avais cependant pas peur, de mon coté, et je n'étais qu'à quelques centimètres des flammes. Je savais qu'il suffisait que je tende la main pour que les doitgs rencontre le baiser mordant de la chaleur mortelle. Je fis un mouvement vers elles, mais me stoppait, entendant de nouvelles voix qui me percutèrent avec une force qui me fit vaciller. Ils étaient là. Ils étaient là, en train de fixer les flammes. Ils étaient là.

    Les Cullen.

    Que fallait-il que je fasse à présent ? J'aurai voulu tous pouvoir les tuer. La stupeur laissa place, progressivement à une colère, une rage, une indignation pure qui me donna des envies de meurtres pures. Mais je ne pouvais tuer personne se soir, si ce ne fut un meurtrier ou un violeur. Ella Johnson était là également. Sa douce odeur de jeune femme en coeur me parvint en même temps que sa voix, inquiéte et terrifiée. Je réapparus.

    C'est alors que je pris conscience que je me cachais depuis que j'étais arrivée sur la plage. Que j'usais de mon don depuis bien trop longtemps et que la soif était omniprésente en moi. Mais je ne pouvais pas les tuer, je ne devais pas les tuer. Pourquoi m'accrochais-je tant à une promesse, un pacte faite avec une humaine faible et stupide ? Pourquoi est ce que je ressentais à cette instant une indignation tel que j'aurai pu tous les torturer à mort pour savoir qui avait fait ca ? Je sentis les gens, derrière moi, reculait encore alors que je me marterialisais devant eux, comme une apparition divine, ou cruelle. Mortelle. Colérique et incontrôlable. Je ne doutais pas que les cousines, qui brûlaient sous mes yeux, n'euent été victime d'un meurtre, elles aussi.

    Et ce que je savais par dessus tout c'est que je pourrais tuer pour savoir qui m'avait fait ca ? Me tournant vers les Cullen, je croisais le regard de Bella, de Renesmée, Carlisle, puis, Edward, le seul qui en cette instant prenait conscience de ce dont j'étais capable pour arriver à mes fins, pour me venger. Je vis aussi Ella près de la cadette des Cullen, Jacob, et Jasper, Alice, Rosalie, Emmett, Esmée. ils étaient tous là, observant. Tous avec une expression de stupeur qui me rendit presque folle. Ils n'étaient donc pas les responsables de ce drame. Qui alors ? Qui ? Je vis le bout de papier qui passaient de main en main, chacun des membres le lisant semblait soudainement prendre conscience d'une chose capitale, et la curiosité me conduisit jusqu'à eux. Je restais cependant à bonne distance, et croisais leur regard à tous, encore une fois.

    - Qui a fait ca ? Demandais-je, froide comme la glace, luttant contre l'envie que j'avais de tous les tuer.
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Demetri Volturi

Demetri Volturi


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MessageSujet: Re: Une alliance inévitable ( everybody )   Une alliance inévitable ( everybody ) Icon_minitime17.06.09 21:51


    À ne rien y comprendre, parfois la vie nous apporte des choses qui ne sont pas vraiment prévisible, c'est vrai, que jamais on aurait pu prédir cela. Moi le dernier, oui moi, Emmett Cullen, je venais de voir quelque chose d'assez inatendu et pour le moins inhabituel, même pour moi. Qu'avait-il bien pu arriver cette nuit-là pour que nous en arrivions à un point comme celui-ci, pour que certaine personne se retrouve dans un tel état. Moi, mes frères, ma famille, personne ne semblait capable de pouvoir le deviner. Je ne comprenais pas, personne ne comprenais, est-ce que cela allait nous emmener des problèmes ? Très certainement...

    [FlashBack]

    Aujourd'hui, une fête était prévu, elle était même prévu depuis quelques jours. Elle réunissait, les Cullen, ma famille, et également des stars qui avaient subi des choses assez étranges. Dire que certaine personne aient pû faire des choses aussi horrible sur des gens, qui ne semblaient n'avoir rien demander. Je ne cherchait pas spécialement à comprendre. Il était environ 10h et j'étais devant la télévision, je ne savais même pas où était Rosalie, j'entendais des battements de coeurs, j'avais pris l'habitude maintenant, et j'arrivais sa difficulté à les ignoré, c'est un certaine entraînement, c'est sûr. Et puis de toute façon, je n'avais pas vraiment le choix, qu'il s'agisse de Bella, Edward, Rosalie, Alice, Esmé et donc Carlisle, tout le monde ne voulait pas voir partir Renesmé, ce qui est compréhensible, moi aussi je m'y attachais à cette petite. Et puis aussi, Jacob Black, la personne imprégné de la petite. Je n'avais pas vraiment compris qu'est-ce que c'était que l'imprégnation, Edward avait essayé de m'expliquer, mais avait abandonné en me faisant comprendre que ce que je ressentais pour Rosalie était moins fort que ce qu'ils ressentent l'un pour l'autre, enfin surtout Jacob pour elle. Je ne cherchait pas à comprendre plus que cela et les laissaient vivre leurs vies.

    À la télé, il y avait un match de Basket opposant les San Antonio Spurs, et les Los Angeles Lakers, je n'avais pas d'équipe favorite en général, mais je devais bien avouer que j'avais cette fois-ci une petite préférance pour les Spurs, je trouvais un joueur, Duncan très interessant, c'était une bête ce type, il en foutrait une à une humain normal, celui-ci ce retrouverait part-terre avec plusieurs dents en moins. Je l'aimais bien. Le match touchait à sa fin, et malheureusement les Lakers gagnaient, de dix points. Je ne cherchais pas plus que cela à m'enerver, comme habituellement. Et j'avais même pour une fois posé la télécomande à côté de moi. Et voilà, le match était fini, il y avait eu un score de 113-102 en faveur des Lakers, c'était un très bon match et tous c'était très bien battu pour arriver à un match assez sérée mais avec un très bon début des Lakers qui leurs avaient ammené à la victoire. Je me levais et partais en direction de l'étage en dessous, en avançant je vis Bella.

    -Hey, un bras de faire, ça te dis ? lui dis-je d'une voix assez roque.

    -Rêve ! Tu gagneras jamais, dit-elle d'une voix assez ironique.

    Je partis donc en direction du salon où il y avait l'écran plat. Oui, je ne regardais pas la télévision dans le salon, mais dans la chambre, c'était mieux. Je n'entandais toujours aucune trace de Rosalie et je ne savais pas vraiment que faire, j'allumais la télévision à le recherche de quelque chose à regarder. Il n'y avait rien. Je décidais donc de partir chasser. Je partis en ne voyant absolument rien autours de moi. Enfin, personne que je cherchais.


    [...]

    C'était presque l'heure de partir, je m'étais très rapidement changé et avait enfillé un simple costume "passe-partout", je pouvais très bien joué au Volley avec, au pire, j'avais emmener de quoi me changer. Un short, ben ouais, pas besoin de mettre un T-shirt, à coup sûr, Jacob serait torse-nue à montrer sa musculature, moi aussi je peux, surtout que je suis presque sûr que je le bas la dessus. Pas completement, c'est vrai qu'il est très musclé le bougre ! Je cherchais Rosalie, et je la vie enfin, je m'approchais doucement d'elle, je voyais très bien qu'elle était prête, magnifiquement vétu, comme toujours elle était prête à s'envoler pour la plage, pour notre petite fête. Nous allions bientôt partir, en voiture, avec dans la Mercedes, Carlisle et Esmé, dans ma Jeep, Rosalie, Alice, Jasper et Moi, et enfin dans la dernière voiture, je ne me souviens même plus laquel, les autres. Je crois que nous étions tous parti comme cela. Oui.

    [...]

    Une fois arrivé là-bas, nous pûmes observé qu'il faisait très beau, et nous, les garçons, nous partîmes vers la plage pour installer le terrain de volley, nous étions très décontracté, même Jasper l'était. Il était de plus en plus résistant le jeune, comme j'aimais l'appeller, même si je savais très bien qu'il était beaucoup plus vieux que moi. Une fois arrivé là-bas nous assistâmes à quelque chose d'étonnant. Il y avait un feu, avec au mileu deux cadavres. C'était visiblement des personnes que je ne semblais pas connaître. J'eu à peine le temps de regarder Edward, qu'il avait compris qu'il devait aller chercher les filles. Je les vis très rapidement venir. Elles étaient là, et semblait comprendre l'importance de la chose.
    À ne rien y comprendre, parfois la vie nous apporte des choses qui ne sont pas vraiment prévisible, c'est vrai, que jamais on aurait pu prédir cela. Moi le dernier, oui moi, Emmett Cullen, je venais de voir quelque chose d'assez inatendu et pour le moins inhabituel, même pour moi. Qu'avait-il bien pu arriver cette nuit-là pour que nous en arrivions à un point comme celui-ci, pour que certaine personne se retrouve dans un tel état. Moi, mes frères, ma famille, personne ne semblait capable de pouvoir le deviner. Je ne comprenais pas, personne ne comprenais, est-ce que cela allait nous emmener des problèmes ? Très certainement...
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Carlisle Cullen
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Carlisle Cullen


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MessageSujet: Re: Une alliance inévitable ( everybody )   Une alliance inévitable ( everybody ) Icon_minitime20.06.09 5:46

    Dans un bel après-midi ensoleillé, moi, Carlisle Cullen, je restais enfermé dans mon bureau. C’était mon endroit préféré, mon intimité, mon ‘’antre’’ et la place où je pouvais m’évader du train-train quotidien qui pouvait être parfois ennuyant et trop... régulier. La pièce en question était haute de plafond et dotée de vastes fenêtres qui ouvraient vers l’ouest de la demeure Cullen. Celles-ci laissaient pénétrer les rayons abondants et chaleureux du soleil sur ma peau satinée et couleur craie, la faisant scintiller de mille feux comme des diamants. Les murs étaient faits de bois d’érable et ils étaient occupés par des peintures, certaines évoquant les Volturi, ma famille ou la ville de Londres dans ma jeunesse. L’espace restant était dissimulé par d’imposantes bibliothèques, plusieurs étant beaucoup plus grandes que moi, qui contenaient une importante collection de livres. Certains étaient même très vieux, datant jusqu’au années 1600, et d’autres plus récents du 20ème et 21ème siècles. La pièce ressemblait exactement à l’antre d’un doyen d’université. Cependant, je paraissais beaucoup trop jeune pour coller à l’image. J’étais assis dans un fauteuil en cuir derrière une énorme table d’acajou, le nez plongé dans une énorme pile de papiers de toute sortes ; comptes à payer, impôts, taxes, papiers de l’hôpital… Aujourd’hui, je ne travaillais pas à sauver des vies humaines, mais j’avais quand même du boulot et ce, depuis les heures matinales. Mon travail, à la place, consistait à régler les dépenses de la famille. Elles étaient assez importantes, car elle contenait celles des Cullen, mais aussi celles de Jacob et de sa meute, qui passait beaucoup de temps dans notre demeure. Cela ne me dérangeait nullement, j’appréciais leur compagnie et leur appui. De plus, nous n’avions aucune difficulté financière ou aucun retard de la sorte.

    Puis, les comptes payés, je me dirigeai vers une de mes bibliothèques et en retirai un livre. J’allai me rasseoir confortablement dans mon fauteuil et je l’ouvris. Puis je commençai la lecture de volume épais et poussiéreux. Pendant une heure, je m’évadai dans ses vieilles pages jaunis et fripés. Cependant, à mon grand désarroi, la pendule sonna les 15 heures.

    *Dommage, j’aurais bien continuer à lire un peu.*, pensai-je.

    Alors, je passai mes doigts dans mes cheveux et je rejetai ma tête sur le dossier de mon fauteuil. Puis, je laissai mes sens s’étendre dans toute la maisonnée. J’entendais les filles qui se préparaient ; Alice prenant une éternité pour choisir sa robe, Bella enfilant ses vêtements et Renesmée essayant vainement de coiffer sa chevelure. Il y avait aussi Esmée qui faisait du ménage ainsi que le reste de la famille un peu partout dans la vaste demeure. Puis, je restai assis quelques moments avant de me lever de mon fauteuil pour aller me préparer pour la fête.

    Je me dirigeai donc vers la salle de bain. En ouvrant la porte, une bouffée de chaleur et de vapeur m’envahit le visage. Je souriais d’amusement en constatant que les filles avaient utilisé toute l’eau chaude. Tant pis. Je pris par conséquence une douche aussi glaciale que de la neige. J’en profitai pour savonner mes boucles blondes. Puis, je séchai mes cheveux trempés à l’aide d’une serviette et j’enfilai un pantalon chic mais confortable avec une chemise blanche. J’ajoutai à mon habillement un foulard et j’enfilai un veston noir par-dessus le tout. J’ajoutai du gel dans mes cheveux pour les tenir en place, je nouai ensuite les lacets de mes souliers et je descendis au salon. J’y entendis ma famille pendant d’interminables minutes. Enfin, Alice, Bella et Renesmée arrivèrent, radieuses, suivies du reste des Cullen, tous magnifiquement vêtus.
    C’est ainsi que nous partions pour la petite fête sur la plage. Prenant la main d’Esmée, nous nous installions tous les deux dans la Mercedes noire, ainsi que la famille dans la Jeep et dans les autres voitures. Puis, je faisais démarrer l’auto, pesai sur l’accélérateur et m’engageai sur la route, premier en tête du cortège familial.

    […]

    Nous étions arrivés depuis plusieurs minutes à la plage de Los Angeles. La soirée allait de bon train, et tous les gens présents semblaient s’y amusé, quand une foule commença à s’assembler autour d’un feu. Dedans se consumaient les corps de deux jeunes femmes, brûlant leur chair, leur os, leur…âme.
    Un sentiment de dégoût m’envahit soudainement. Qui avait osé commettre ce meurtre atroce? Dans quel but? Pourquoi? Tant de questions sans réponse et tant d’émotions contradictoires se bousculaient dans ma tête. Pire ; Innocence était là elle aussi, belle et cruellement terrifiante. Cependant, je restai calme du mieux et m’avançai vers le feu. Je retirai d’une roche un papier, un peu roussi par le feu mais en très bon état.

    La hâte engendre en tout l'erreur, et de l'erreur sort bien souvent le désastre. "
    Votre choix fut de transformer ces humaines, et l'erreur est humaine, mais en aucun cas,
    les vampires doivent se sentir concerné. Ici, l'erreur fut de les confronter à la vie éternelle
    alors qu'elles n'étaient pas vraiment prêtes et commençaient déjà à se faire remarquer ...
    Sachez que si vous prenez encore une mauvaise décision, il se pourrait bien que je tue
    l'un de vous ...
    Avec mon Affectueuse Attention ...
    T.


    Mon visage fut empreint d’une grave stupeur. Malgré tout, j’essayais en vain de garder mon calme. Le danger était bien là, il ne s’agissait pas de simples meurtres comme les autres d’avant désormais. La mort serait maintenant le seul prix, la seule issue…
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MessageSujet: Re: Une alliance inévitable ( everybody )   Une alliance inévitable ( everybody ) Icon_minitime06.07.09 17:02

« La hâte engendre en tout l`erreur, et de l`erreur sort bien souvent le désastre. » Hérodote.
.






    Je ne sais pas si je suis le seul dans ce cas, mais je déteste Los Angeles. Comment une ville aussi terrifiante peut-elle porter ce nom si somptueux ? Les Anges ... J`aimerais savoir pour quelle raisons, moins d`un siècle avant ma naissance, João Rodrigues Cabrilho lui a donné un nom si extraordinaire. Enfin. J`étais déjà passé ici avant de me rendre à Philadelphie en 1949 mais je ne m`y étais pas attardé. Trop de monde pour moi, trop de soleil aussi. Mais si j`étais revenu, c`était pour ma famille - Les Cullen. Notre vie serait-elle plus parfaite, ici ? J`en doutais. Mais Alice paraissait tellement heureuse ; comment pourrais-je gâcher le bonheur de ma femme pour des caprices aussi succinct. Quoiqu`il en soit, à cet instant, mes yeux ne reflétèrent qu`horreur et incompréhension. Je regardais Emmett, Edward - qui avait été chercher les filles sans que je puisse m`en rendre compte - et mes yeux couvrirent panoramiquement la plage jusqu`à ma femme. Pouvait-elle trouver réponses à nos questions ? Avions-nous commis une erreur de parcours et attiré sur nous les pires problèmes qu`il soit ?


      Le matin même.



    Un sourire satisfait dessinait mes lèvres alors que je regardais Alice en pleine hésitation devant une galerie entière de robes et ensembles qui lui iraient tous aussi bien les uns que les autres. Je m`étais habitué à cette femme un peu superficielle et à cet amour pour la mode et le luxe bien que je n`étais pas vraiment de ce monde. Alice était toute ma vie et elle profitait de ce fait pour me faire essayer plus de tenue qu`elle n`en avait en sa possession. La fête qui était prévue ne m`enchantait pas véritablement, je me contentais de peu pour être heureux. Je me contentais de Forks ... Mais je devais m`y faire à présent.

    Mes bras croisés sur mon torse - je reposais sur le joint de la porte, soulagé d`être fin près. Une simple chemise blanche accompagnée d`une cravate parfaitement nouée et posée sur mon torse. Alice avait rajouté les boutons de manchettes, portant le blason de notre famille et le veston de smoking qui s`accommodait avec mon pantalon noir et mes chaussures italiennes. L`aspect physique ne m`intéressait pas mais je préférais de loin rester là à l`admirer que prendre du temps pour moi. Elle était mon temps et cela me suffisait amplement. Elle me présentait des tenues de toutes sortes - il me semble en avoir vu des centaines -. Ses yeux se levaient au ciel quand je lui répétais qu`elle était de toutes manières la plus belle si bien que je finis par acquiescer simplement ses présentations d`un signe de tête - comme si je lui disais cela pour lui faire plaisir et non parce que je le pensais.

    {...}


    Je voyais à présent l`heure tourner sur ma Rolex et me demandait si les autres nous attendaient encore. Je décidais ainsi de sortir de mes songes et de reprendre la situation en main ;

      Tu devrais rester sur celle-ci, elle est parfaite, psalmodiais-je pour mettre terme à ce véritable défilé.
      Tu en es certain ? me quémanda-t-elle sans paraitre vraiment satisfaite.
      Parfaite, lui répétais-je simplement pour mettre fin à la discussion.


    Je lui tendis ma main et elle s`en saisit. Une démarche élégante et sautillante nous mena jusqu`au sommet de l`escalier où elle me lâcha pour se mettre à la hauteur de Rose, d`Isabella et de la petite - qui ma foi devenait grande - Renesmée. Elles étaient toutes les quatre de la plus grande élégance, comme nous étions en parfait gentleman. Esme et Carlisle nous attendaient déjà dans le salon, il était grand temps de partir ... Alice se saisit de mon bras alors que nous prenions la direction du garage et nous avancions vers la Jeep d`Emmett. J`ouvris élégamment la portière de ma femme et m`installa à ses côtés.

    {...}


    Nous venions d`arriver à la plage, après avoir installé les terrains de volley, quand déjà j`eus vent de ce qu`il se passait. Les émotions m`envahissaient et je me sentais prendre pied à elles. Je pris soin de fermer les yeux pour canaliser mes ardeurs et m`avança vers l`objet des terreurs. Je suivis un moment Carlisle des yeux et prit vite place à ses côtés. [ À cet instant, mes yeux ne reflétèrent qu`horreur et incompréhension. Je regardais Emmett, Edward - qui avait été chercher les filles sans que je puisse m`en rendre compte - et mes yeux couvrirent panoramiquement la plage jusqu`à ma femme. Pouvait-elle trouver réponses à nos questions ? Avions-nous commis une erreur de parcours et attiré sur nous les pires problèmes qu`il soit ? ] J`observais pendant quelques secondes les cadavres brûlant à vives flammes et le dégoût en moi était certain. Los Angeles, ville du rêve Américain ? Je ne voyais pas où était ce rêve.

    Le mot glissa de mes doigts et quelque chose attira mon regard plus que tout autre chose ; une vague d`émotions se reliant à la colère que je ne pouvais bloquer. Une beauté froide - incomparable et terrifiante. Lorsqu`elle vint à nous, par instinct je me plaçais devant Alice et lui fit face. Et ses mots claquèrent mes tympans comme un fouet - mon visage comme le givre. Elle ... Innocence.

      Qui a fait ca ? Demanda-t-elle, froide comme la glace.


    Mon visage portait une expression grave - j`essayais toujours de comprendre ces quelques-mots ... Que pouvait penser mon père adoptif de tout cela ? Etait-ce notre arrêt de mort à tous ? Le prix à payer ...
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Jacob Black
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MessageSujet: Re: Une alliance inévitable ( everybody )   Une alliance inévitable ( everybody ) Icon_minitime08.07.09 11:51

L'enfer c'est de s'apercevoir qu'on n'existe pas et de ne pas y consentir.
.


Dragula is coming soon.


    La soirée chez Ella avait constituée dans l'ensemble un bon moment passé ensemble, avec ma Nessie d'amour et une nouvelle très bonne amie. Ella Johnson était la gentillesse même, et la douce beauté d'une femme sans complexe. J'étais plus qu'heureux qu'elle met demandé d'être le parrain de son fils, et je prendrais le rôle à coeur, comme de bien entendu. De plus, la visage rayonnant de Nessie pour le reste de la soirée m'avait comblé d'une joie sans égale. Nous étions restés tard chez notre amie, jusqu'à ce que les yeux de Nessie se ferment tout seul. Je l'avais alors ramener après les au revoir à notre hôte. Une fois à la maison, Nessie s'était endormie tout de suite après avoir posé sa tête sur mon torse. J'aimais tant la sentir proche de moi. En général cela me calmait, mais ce soir là, je ne m'endormis que bien plus tard.

    En général je dormais si bien que je ne rêvais pas, ou plutôt je ne m'en rappelais pas le moins du monde. Seulement ce soir une chose avait changé. La douleur dans mon cou s'éveillait. Je n'y avais pas fait attention de toute la soirée, et même si elle était présente, je ne l'avais que peu senti. Seulement, pour le coup je ne sentais que cela. Ca me lancé, et je sentais le froid à cette endroit risquant de me paralyser. La morsure d'Innocence. Dés que je fermais les yeux, je voyais la vampire fondre sur moi, et ses dents se refermer sur mon cou. Je sentais alors mon sang quitter mon corps et la brulure d'un froid trop intense attaquer mes muscles. Me rendre faible. MA respiration s'atténuer, ma tête me tourner, et mes muscles étaient endoloris. Peu à peu je sentais le froid me prendre le corps, m'envahir, jusqu'à ce qu'il touche mon coeur, qui ne survivait pas à la morsure. C'est alors que je me réveillais en sursaut.

    Nessie était toujours endormie sur mon torse, indifférente à la douleur qui me faisait grincer des dents. Je regardais le réveil près de notre lit. Notre lit, j'adorais le dire ainsi, ou le penser plutôt. Il était indiquée 5h23. Un peu trop tôt, mais je ne me voyais pas le moins du monde me rendormir. Si je devais revoir Innocence ne serait-ce qu'une seule fois je risquais de ne pas pouvoir me maitriser. Je n'avais jamais eu vraiment de problème pour contrôler mon loup, j'étais né pour être le chef, pour être un loup. Mais avec Innocence c'était différent. Je ne sentais plus la barrière entre l'homme et le loup. MOn instinct meurtrier que je tachais 'oublier depuis des années s'était soudainement éveillé, et j'avais perdu le contrôle. Je flippais, c'était une évidence que je n'avais jusque là jamais imaginé. Je flippais parce que je savais qu'une seule bataille avec Innocence risquait de me tuer, et j'avais même faillit y passer la dernière fois. Si elle n'avait pas lâché prise sur mon cou, et que son venin m'avait atteins, je ne serais pas revenu. Et je le savais. Et je flippais.

    Je ne pris pas conscience des heures qui passaient. Ce n'est que lorsque Nessie posa un baiser sur mes lèvres que je pris cas du fait qu'elle était réveillée. Je répondis à la douce étreinte de ses lèvres dans une communion charnelle évidente et simple pourtant.

    - Ça va? Bien dormi?
    - Oui et toi ? Demandais-je avec un sourire bienveillant.
    - Très bien...Tu as l'air pensif.
    - Oh, non j'étais seulement un peu perdu... mentis-je avec brio.

    Inutile de lui avouer que je cogitais sur ma propre mort depuis bientôt 3 heures, et que j'en étais arrivé à un point ou j'étais près à me suicider. Nessie prit une douche - avec moi bien entendu Razz - et nous finîmes par nous préparer tout deux à descendre rejoindre sa famille insomniaque. Je partis pour revêtir un jean troué - que j'aimais plus que tout au monde 8D ( oui bien sur >.< ) - et un t-shirt gris, tout à fait bien pour mon corps d'athlète. J'attendis Nessie, assis sur mon lit, pensif, repensant à ce dont j'avais pensé plutôt. Ca aussi c'était pas mal. Enfin, Nessie arriva, me sortie de ma torpeur. Sur le chemin nous croisâmes Bella, ma chère Bells d'amour :

    - Vous venez ce soir !?
    - Mais bien sûr, on ne manquerait cela pour rien au monde, n'est-ce pas Jacob ?
    - Euuh oui si tu le dis !

    Je ne me souvenais pas même de quoi il était question. Devait-on sortir ce soir ? alors là, j'avouais que j'étais complètement perdu. Je répondis à l'enthousiasme de mes deux femmes de ma vie, mais sans grand entrant. Non seulement je n'avais pas la tête à ca, mais je ne me souvenais pas même ce que "ca" était. M'enfin, je le saurais bien assez tôt. En attendant j'étais plus que sur les nerfs, et je quittais la famille - ou tout du moins ma prochaine famille lorsque j'aurais assez de cran pour demander Ness' en mariage - pour partir faire une ronde d'une heure, ou à peine plus. Dés lors que je fus transformer avec Seth, je lui demandais ce dont tout le monde parler.

    *Qu'est ce qui est censé se passer ce soir ?*
    *Jake ... T'es toujours à la ramasse, arrête de penser à Nessie et concentre toi quand on te parle. Alice n'a pas arrêter de nous rabâcher les oreilles avec la fête de ce soir.*


    Il semblait exaspéré.

    * Quelle fête ?*
    * Sur la plage. Barbecu, Volley et jolies filles*


    Arg, j'avais complètement oublié.

    (...)


    Et dire que ca avait si bien commencé. L'arrivé sur la plage s'était faite dans la bonne humeur ambiante. Jusqu'à ce qu'un feu immense - et pour ma part très mal odorant - s'élève dans les cieux. nous nous étions alors approchés. Deux corps brûlaient entre les flammes, et le spectacle était des plus monstrueux. Je me plaçais derrière Nessie et entouré mes bras autour de sa taille, pour la protéger, pour la sentir proche de moi. Une lettre passa entre les mains, et je lus son contenue par dessus l'épaule de ma douce. MAriska et Venera. Les deux acolytes d'Innocence. Leur mort ne me disait franchement rien qui vaille. J'entendis alors Ella, et prenais conscience de sa présence.

    - Qui est l’autre femme ? Demanda-t-elle à Nessie, mais cette dernière était bien trop boulversée. Je sentais qu'elle était prête à perdre pied. Je répondis donc à sa place.
    - Pour le peu que nous en savons ce sont deux cousines, très proche d'Innocence ... Des sortes d'acolytes.

    C'est alors que son odeur me parvint. L'horrible sensation de brulure dans mon cou se manifesta, et je grimaçais, gémis de douleur. Serrant les dents je la regardais arriver avec toute la haine et la hargne dont j'étais capable, me demandant ce qui me retenait de la tuer dans l'immédiat.

    - Qui a fait ca ? Demanda-t-elle de sa voix glaciale et stridente.
    - Apparemment une vampire encore plus cruelle que toi ! Crachais-je dans un esprit de provocation.
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Renesmée C. Cullen
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MessageSujet: Re: Une alliance inévitable ( everybody )   Une alliance inévitable ( everybody ) Icon_minitime19.07.09 13:39

La matin avait pourtant été des plus normales, un matin ensoleillé, à me réveiller dans les bras de mon bien-aimé, à rester là, dans ses bras bien au chaud, à sentir son corps contre le mien, ses bras fort autour de moi. Cette sensation délicieuse que j'avais en me disant qu'il m'avait choisi moi, pas une autre, seulement moi. C'était toujours merveilleux de se sentir aimé, et de pouvoir aimé quelqu'un en retour. Je ne pensais plus à la mort, du moins j'essayais. Lorsque j'en rêvais, je ne voulais pas en parler, ne voulant pas l'inquiété. C'était étrange de penser à la mort tout d'un coup comme ça, sans jamais s'y attendre, sans jamais ne pouvoir y penser. Parce que je savais que je ne pouvais formelement pas en parler avec mon père, il ne comprendrait pas mon inquiétude, ou peut-être ne voudrait-il pas comprendre, ma mère, elle pourrait comprendre, mais je ne voulais pas la faire souffrir avec ça. La seule personne avec qui j'avais pu en parler c'était Carlisle. Il était toujours très sage, et posé, il m'avait grandement aidé, il le fesait toujours. J'aimais sa nature aimante et attentionné envers chaque membre de sa famille c'était quelque chose de rassurant, savoir que tu pourrais toujours compté pour lui à n'importe lequel des moments de ta vie. Il serait toujours capable de me remettre sur le droit chemin.

Je m'étais réveillé doucement, les yeux pensifs et inexpressif de Jake m'avait fat douté de sa réponse qui annonçait simplement qu'il était perdu, je sentais qu'il y avait autre chose, mais ressentais aussi qu'il ne voulait pas en parler. Je respectais cela, il y avait des choses dont moi non plus je ne voulais pas parler parfois, cela me prenait souvent un certain temps. Alors, je m'étais levé et avais pris la direction de la salle de bain, Jake sur les talons. La douche avait été délicieuse, et pas seulement à cause de l'eau chaude, non brûlante, qui coulait sur ma peau...Mais, bon, je m'égare du sujet. J'avais tout de suite disparrue dans la penderie, pour choisir mes vêtements. Jake, lui, portait toujours l'un de ses nombreux jeans troué et T-Shirt qui moulait son corps d'athlète et me donnait des frissons de désir. Il était pas juste, alors j'avais aussi décidé d'être déloyale en m'habillant avec une mini-jupe qu'Alice m'avait donné de sa nouvelle collection et un bustiers rouge qui mettait mon corps en valeur. Pour les chaussure j'avais opté pour des tongs blanche et mes cheveux se baladaient librement dans mon dos leur boucle naturelles rebondissant à chacun de mes pas. Nous étions alors descendus tout doucement, rencontrant plusieurs membre de la famille.

Pour le reste de la journée, tout c'était passé comme à l'habitude...Carlisle à l'hôpital, certains partis en chasse, Esmée qui frotte un peut partout et moi qui s'occupe comme je peux, en lisant un livre, pianotant quelque mélodies sur le piano blanc et me disputant avec Emmett sur l'équipe gagnante du match de Foot à la télévision. Puis, était arrivé le temps de se préparer, des heures de plaisir en compagnie de ma mère, Rosalie et Alice qui nous avait totalement enfermé dans la salle de bain.


(...)


Tout aait bien commencé, cela s'annoncait être une très belle fête, avec des parties de Volley-Ball à n'en plus finir et Emmett qui voudrait toujours soit sa revange ou battre encore les autres équipes... Mais, pourtant, c'est un feu de camp avec deux corps au centre qui nous acceuillit quelques minutes seulement après notre arrivé. J'étais sortie avec les autres filles de sous le chapitaut et l'horreur que j'avais découvert m'avait paralysé sur place. L'odeur qui me vient au nez me donna la nausé et même les bras de Jake qui entourèrent ma taille ne me firent pas réagir. Je regardais les corps se consummer avec horreur et dégout. Qui pourrait être assez cruel pour faire une chose pareille, tué probablement de sang froid deux femmes. Certe, elles avaient choisies le camp d'Innocence, mais personne ne méritait de mourir de cette façon.

Mon regard restais fixé sur le bucher, les paroles des autres me provenant de loin, mais je pouvais tout de même les entendre clairement. L'arrivé d'Ella ne me sortit que quelques secondes de ma torpeur. Je la regardais, les yeux plein de peur et de dégout. Je lui saisit la main, me rendant soudainement compte que Jake répondait à ma place à la question qu'elle m'avait posé. Je m'appercevais aussi que jake me soutenait pour ne pas que je tombe. Je me repris soudain, murmurant un petit désolé que personne ne capta puisqu'ils avaient tous été dérangé par l'arrivé d'Innocence. Je retrouvais tout à fait mon sens de l'ouï attend pour entendre Jake pousser un léger gémissement de douleur. Je me retournais vers lui à la vitesse de l'éclair lui lançant un regard interrogateur, lui ne me voyait pas, il regardait Innocence, serrant les dents au point de se faire exploser la machoire. Je vit alors une plaie, en forme de demi lune, la même qui couvrait l'avant-bras de ma mère. Je blemis soudain, comprenant le rapport avec la présence d'Innocence et la douleur dans le cou de Jake. Ses mots me montèrent jusqu'au oreilles et je compris totalement. Elle l'avait mordue, la fois où il l'avait affronté, seul dans la forêt. Je déglutis difficilement me serrais un peut plus contre son torse, serrant la main d'Ella dans la mienne et regardant Innocence avec haine colère et inquiétude. Tout le reste de la famille était au même point.
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Holly K. O'Connell

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MessageSujet: Re: Une alliance inévitable ( everybody )   Une alliance inévitable ( everybody ) Icon_minitime03.08.09 4:48

N'as-tu donc pas, Seigneur, assez d'anges aux cieux ?
Hugo Victor

    ...

    « Pourquoi il y a autant de souffrance dans le monde dans lequel nous vivons ? Personnellement, je n’ai jamais vraiment trouvée la réponse à ma question et je suis presque sûre que personne ne connait la réponse. Cette question fait partit d’un des nombreux mystères que notre monde possède. L’homme est comme le monde dans lequel nous vivons ;; un phénomène que jamais nous ne comprendrons. »

    Les flammes rouges-orangés brillaient de milles feux devant mes yeux. J’avais toujours trouvée que le feu était magnifique. Ce phénomène si puissant et vulnérable à la fois me fascinait depuis mon plus jeune âge. Jamais je n’avais eue peur du feu malgré que je sache qu’il brûlait. Au contraire, je me sens en sécurité proche de lui. Cette aura de chaleur qui m’envahissait lorsque je me tenais proche de lui me réconfortait. Il faisait sécher mes larmes sur mes joues rougis lorsque rien n’allait. Il était pour moi mon ange gardien. J’étais consciente que beaucoup de gens mouraient à cause de lui mais jamais je n’avais eue plus peur pour autant. Peut-être parce que je n’avais jamais vue des personnes mourir devant moi à cause de lui ? J’crois que oui. Parce que sinon, pourquoi en ce moment la peur cachée derrière le reflet des flammes ravageuses se lisait dans mes yeux ? J’étais paralysée sur place, les yeux rivés vers ce tas de flammes qui consumaient lentement deux corps qui m’étaient inconnue. Je pouvais voir de ma place un bras aussi blanc que la neige et tout délicat pendre du corps en dehors des flammes sur les bûches de bois qui soutenaient le feu. C’en fut trop pour moi et les larmes me montèrent aux yeux. Une seule et unique question trottait dans ma tête ;; pourquoi étais-je venue à cette foutue fête ? J’en avais aucune idée mais j’étais toute même venue. Leena m’avait envoyée une lettre d’invitation à cette fête disant qu’elle s’y trouverait et que c’était une occasion pour moi de me faire des amis parce que j’en avais grandement besoin d’après elle. -__-‘ Comme si j’avais besoin d’amis pour vivre. J’étais très bien sans amis. Mais pour faire plaisir à ma sœur chérie, j’étais venue à cette fête et maintenant je regrettais mon choix. J’aurais dû rester à la maison sous mes couvertures et manger des sushis en pyjama devant la télévision. Mais pourtant j’aurais dû me contenter chanceuse parce que ici il y avait pleins de bouffe aussi bonnes les unes des autres ( j’étais littéralement tombée en amour avec les muffins au caramel *O* ) et que j’avais le film d’horreur en Live. Mais non, je regrettais toujours mon choix. J’avais peut-être évitée une chicane avec Leena en venant ici, mais si j’avais su que c’est ça qui ce serait passé, j’aurais préférer avoir une chicane infernal avec ma sœur, croyez-moi. Et aussi, peureuse comme j’étais, si j’étais même pas capable de regarder un film d’épouvante à la télévision sans aller rejoindre Leena dans son lit pendant une semaine imaginer si j’vois ce genre de truc en Live ! C’était assez pour me traumatiser à vie laissez-moi vous dire !

    J’avais toujours les yeux rivés sur le feu lorsqu’elle apparut devant moi tel une apparition magique à laquelle tous les jeunes enfants rêvaient de voir un jour. Elle était dos à moi mais j’avais peine à imaginer à quoi ressemblerait son visage. Sa peau était aussi blanche que celui du bras de la fille qui se trouvait dans les flammes brûlantes. Par réflexe des éclairs électriques s’étaient formées dans le creux de mes mains menaçant de se jeter sur n’importe qui qui se trouveraient à proximité de moi. Cette fois la peur qui se lisait dans mes yeux était différente que celle qu’il y avait précédemment. Et si quelqu’un voyait ces éclairs se promener comme des déchainer dans le creux de mes petites mains ? Et si ces éclairs allèrent électrocuter quelqu’un autour de ce feu ? J’essayais à maintes reprises d’éteindre ses flammèches électriques de mes mains avant que quelqu’un ne les voient et que j’aille de sérieux problème. Celle qui était apparut comme par enchantement et qui me faisait dos ne sembla pas me voir. J’étais alors pour l’instant en sécurité tant que je me tenais à demi tournée du feu pour pas que les autres de l’autre côté me voit avec ces éclairs bleutés dans les mains. Un groupe de personnes attira soudain mon attention. Ils se trouvèrent peut-être de l’autre côté, mais ils attiraient l’attention. Tous aussi blanc les uns des autres avec une beauté inimaginable et avec eux des gens totalement différent d’eux ;; super bronzé et grand. C’était du moins, il fallait l’avouer, étrange. Mes yeux était rivés vers eux tandis que mes mains ne cessaient de bouger dans tout les sens pour faire disparaître ces foutues flammèches. Quelques-uns d’entre eux parlaient mais pas assez fort pour que je puisse les entendre tandis qu’ils faisaient circuler un bout de papier que chacun lisaient. J’avais remarquée que tous, après d’avoir lut le bout de papier, avait eu un air grave dessiné sur le visage. Je n’avais pas reçus le papier mais je savais que ça devait être assez grave pour que leur expression change aussi vite que ça.

    « Qui a fait ca ? » Lâcha soudain celle qui se trouvait devant moi d’une voix glacial. C’était le genre de voix que l’on imaginait dans nos pires cauchemars. Une fois froide et dur qui nous donnait des frissons. Et faut dire qu’elle l’avait bien réussit parce que des frissons me parcouraient actuellement le corps. Je me faisais tellement petite que j’étais devenue qu’une ombre parmi la sienne. J’étais presque sûre que personnes ne m’avaient remarqués encore. C’était peut-être mieux ainsi puisque ce ne serait pas le bon moment pour que l’on me remarque avec ces éclairs qui changeaient du bleu à l’argent ne cessant de bouger dans tout les sens comme des vers vivant se débattant pour leur survie au creux de mes petites mains délicates. Je mordillais ma lèvre inférieur depuis que ces petites étincelles étaient apparurent dans mes mains. Le gout du sang se fit soudain gouter dans le fond de ma gorge. Un haut-le-cœur me vint. Je détestais le sang et encore plus son gout que je trouvais qui goutais comme quelque chose de rouillée. « Apparemment une vampire encore plus cruelle que toi ! » Ma tête se releva d’un coup tandis que mes yeux se rivèrent sur celui qui avait lâché cette phrase d’un ton assez provocateur. Il était grand, pour ne pas dire immense x), et ses yeux regardèrent celle qui se trouvait devant moi avec autant de haine qu’ils pouvaient. Qu-Quoi !? Cette femme en avant de moi était un V-V-Vampire !? O.O Wow, attendez, les Vampires n’existent pas. Leena m’avait surement inscrite dans Serial Piégeur et tous ces gens autours du feu étaient des acteurs et les deux jeunes femmes qui brûlaient dans le feu n’étaient rien d’autre que deux mannequins bien réussis. Oui, voilà ce que c’était. =) Mais le regard de cet homme était tellement sérieux, que je me doutais que ce n’était pas une blague mais bien la vérité. J’avalais ma salive et surtout mon sang. Parce que même si je ne connaissais pas un rayon sur les Vampires, je savais au moins qu’ils étaient attirés par le sang à cause des fameux films sur eux. Les éclairs au creux de mes mains se mirent à s’agiter de plus belle. J’aurais pu me retourner et me mettre à courir sans jamais me retourner en arrière jusqu’à ce que je sois arrivée chez moi. Mais j’étais tellement paralysée à cause de tous ce qui se passait devant mes yeux que mes jambes ne répondaient pas à l’ordre de mon cerveau. Quelques minutes s’écroulèrent avant que s’en fut trop et que les éclairs électriques s’échappèrent de mes doigts pour atterrir dans un bruit sourd au milieu des flammes du gigantesque feu. Quelques flammèches du feu revolèrent un peu partout à l’extérieur mais subtilement tandis que je me retrouvais par terre sur les fesses à cause du choc de la propulsassions. Je ne voulais pas regarder autour de moi par peur de la réaction des gens. Je savais que surement aucun d’entre eux n’avaient vue ce qui c’était passé, mais je ne voulais pas prendre de risque et baissa donc ma tête vers le sol en fermant les yeux, souhaitant me faire tellement petite que personnes ne me remarqueraient.
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Alana J.Wright
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MessageSujet: Re: Une alliance inévitable ( everybody )   Une alliance inévitable ( everybody ) Icon_minitime08.09.09 2:59

Une alliance inévitable ( everybody ) Plage



Une alliance inévitable





    J'avais commencer a chasser dans une boîte de nuit très tard la nuit dernière . J'avais penser a ma fille toute la nuit pourquoi voulait-elle me quitter après tant d'année? Pourquoi des tas de pourquoi . Je n'arrivait pas a me faire un raison . La petite fille que j'avais porter dans mes bras ,laquelle j'avais appris a chasser , à attaquer tous le monde et ne jamais avoir pitier car personne n'avait vraiment pitier de quelqu'un sur la planète . Même pas les animaux qui s'entre-tuais.Bref revenons a cette boîte de nuit , je n'avait réussit a séduire que deux jeune hommes seuls et soul dans le fond du bar .L'un deux , avait encore une bouteille de cognac a la mains quand je vint le rejoindre pour m'abreuver de son sang. Le premier avait les cheveux très court ,il était presque chauve, venait de se séparer de sa bien-aimée parce qu'il l'avait tromper. Je lui dit bien sûr ''tant pis pour toi'' . Sans pitier il était complètement détruit par les évènements et se demandait surement pourquoi je l'écoutais radoter ses trucs inintelligibles .En effet , je ne l'écoutais pas vraiment. J'étais encore dans mes réflexions a propos de tout et de rien . Mais il me faisait du bien d'entendre quelqu'un parler près de moi. C'était tellement rare ces temps-ci ma fille était constamment partie . Je crois qu'elle attendait un moment pour m'annoncer qu'elle allait demander aux Cullen de vivre avec eux. et me laisser seule avec mon sadisme . Pendant mes réflexions , j'oubliai souvent ce qui m'entourait . Soudain je me rendit compte que l'homme que j'étais supposer écouter était maintenant devant moi très proche .Il avait glisser ses mains dans les poches arrières de mon jean et s'en allait m'embrasser avec ses lèvres moites et son haleine d'alcool. Je ne perdis donc pas de temps ,ses lèvres presque aux miennes ,je déplaçait ma tête vers son cou et mordit .Ne me souciant pas des cris horrifier de ma victime qui cessèrent quelque secondes après. Le deuxième homme n'avait rien de spécial je m'approchait sans même le regarder le levait par la gorge et mordit .Je n'avait aucun gout pour une torture théâtrale.

    [...]


    Je revint donc dans le petit appartement que j'avais louer pour y rester quelques jours. Après la fermeture de la boîte de nuit , vers trois heure du matin. Ma fille dormait sur le sofa . Je me baissait pour pouvoir e^tre a la hauteur de la figure de ma fille et y déposât un baiser. Très léger je n'étais capable de pareil tendresse qu'avec quelques personnes dont Clya. Une vague de fatigue m'envahit .Épuiser mentalement par tous les évènement .Je m'assit sur le petit fauteuil et fermait les yeux . Je fis le vide dans ma tête ... ce que ca pouvait être épuisant d'être un vampire .Soudain une image s'offrit a moi quelque chose dont Clya m'avait parler il y a longtemps.Une soirée a la plage , ou il y aurait plusieurs de ses amis.Peut-être même les Cullen . Et c'était ce soir vers sept heure . J'avait bien l'intention de mis pointer.Je me levait de mon fauteuil , me changeait et allat magasiner un peu ...beaucoup .Jusqu'à six heure ou je vint annoncer que je venait a ma fille. Ébahit elle pris un plaisir fou a m'habiller et a me peigner .Pour que j'ai l'air d'une princesse même si c'était inutile.

    -Tu est magnifique maman!!

    -Mais j'ai l'air d'une poupée de chiffon!

    À sept heure du soir nous partîmes vers la plage à pied. J'en profitais donc pour aborder le sujet des Cullen . nous discutâmes sur le sujet plusieurs minutes durant. Le temps de nous rendre a la plage nous nous fîmes siffler en passant pas au moins 10 garçons ce qui était très peu en comparaison a lorsque nous sortions en boîte de nuit . 20 ou 30 au moins par nuit.Lorsque nous arrivâmes tous le monde étaient entasser autour d'un feu de camp .Mais une fumée mauve sortait de ce feu je devinait que ce n'était pas que du bois que ce faissait consumer par le feu dans cette foule. Je m'avançait et entendit une vampire et une autre créature à l'odeur impossible discuter .

    -Qui a fait ca ?

    Dit la vampire.
    -Apparemment une vampire encore plus cruelle que toi !

    Je vis de l'autre bout du feux une humaine avec les yeux horrifier parce que ,je le vit plus tard, Jacob venait de dire vampire.Je me fit un chemin entre les membres de la famille Cullen.Me retenant pour le pas les tuer tous.M'arrêtant derrière Jacob lui assenant claque derrière la tête .Je vis donc que ce qui alimentait le feu était nul autre que deux jeune femme ,vampire bien sur.
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